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Les Films de Cinéma dans ma Vidéothèque : deuxième partie (1981-2007)

par Hyarion 28 Juin 2008, 20:44 Dans la vidéothèque

Après avoir évoqué, dans un précédent article, les films de cinéma figurant dans ma vidéothèque qui sont sortis en salles entre 1940 et 1980, voici venu le tour des films sortis entre 1981 et 2007. Bien évidemment, parce qu'il en est des DVD comme des livres - à savoir que l'on ne peut pas tout acquérir -, ma vidéothèque est loin de contenir tous les films que j'apprécie. Néanmoins, à l'heure où j'écris, il y a en tout de même quelques-uns...

Excalibur (Excalibur)
Réalisation : JOHN BOORMAN
1981. Etats-Unis d'Amérique, Royaume-Uni. 140 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : John Boorman, Rospo Pallenberg, d'après Le Morte d'Arthur de Thomas Malory. Photographie : Alex Thomson. Musique : Trevor Jones, Richard Wagner, Carl Orff. Production : John Boorman, Michael Dryhurst, Robert A. Eisenstein, Edgar F. Gross / Orion Pictures Corporation. Interprétation : Nigel Terry, Helen Mirren, Cherie Lunghi, Nicol Williamson, Gabriel Byrne.

Les Aventuriers de l'Arche Perdue (Raiders of the Lost Ark)
Réalisation : STEVEN SPIELBERG
1981. Etats-Unis d'Amérique. 116 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Philip Kaufman, Lawrence Kasdan, George Lucas. Photographie : Douglas Slocombe. Musique : John Williams. Production : Frank Marshall, Robert Watts, Howard G. Kazanjian, George Lucas / Lucasfilm Ltd., Paramount Pictures. Interprétation : Harrison Ford, Karen Allen, Paul Freeman, John Rhys-Davies, Ronald Lacey.

La Guerre du Feu
Réalisation : JEAN-JACQUES ANNAUD
1981. France, Canada, Etats-Unis d'Amérique. 100 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Gérard Brach, d'après J.H. Rosny Ainé. Photographie : Claude Agostini. Musique : Philippe Sarde. Production : Jacques Dorfmann, Véra Belmont, Denis Héroux, John Kemeny, Claude Nedjar, Garth Thomas, Michael Gruskoff / Belstar Productions, Ciné Trail, Famous Players, International Cinemedia Centre Ltd., Royal Bank, Stéphan Films. Interprétation : Everett McGill, Rae Dawn Chong, Ron Perlman, Nameer El Kadi, Gary Schwartz.

Conan le Barbare (Conan the Barbarian)
Réalisation : JOHN MILIUS
1982.
Etats-Unis d'Amérique. 129 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Oliver Stone, John Milius, d'après Robert E. Howard. Photographie : Duke Callaghan. Musique : Basil Poledouris. Production : Edward R. Pressman, Raffaella De Laurentiis, Dino De Laurentiis / Universal Pictures, Dino De Laurentiis Productions. Interprétation : Arnold Schwarzenegger, James Earl Jones, Sandahl Bergman, Max von Sydow, Gerry Lopez.

Blade Runner (Blade Runner)
Réalisation : RIDLEY SCOTT
1982 (Final Cut : 2007). Etats-Unis d'Amérique. 112 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : David Webb Peoples, Hampton Fancher, d'après Philip K. Dick. Photographie : Jordan Cronenweth. Musique : Vangelis. Production : Michael Deeley, Ridley Scott, Ivor Powell, Run Run Shaw, Hampton Fancher, Brian Kelly / Blade Runner Partnership, The Ladd Company, Shaw Brothers. Interprétation : Harrison Ford, Rutger Hauer, Sean Young, Daryl Hannah, Edward James Olmos.

Indiana Jones et le Temple Maudit (Indiana Jones and the Temple of Doom)
Réalisation : STEVEN SPIELBERG
1984. Etats-Unis d'Amérique. 118 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Willard Huyck, Gloria Katz. Photographie : Douglas Slocombe. Musique : John Williams. Production : Robert Watts, Kathleen Kennedy, George Lucas, Frank Marshall / Lucasfilm Ltd., Paramount Pictures. Interprétation : Harrison Ford, Kate Capshaw, Jonathan Ke Quan, Amrish Puri, Roshan Seth.

La Chair et le Sang (Flesh + Blood)
Réalisation : PAUL VERHOEVEN
1985. Etats-Unis d'Amérique, Espagne. 126 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Gerard Soeteman, Paul Verhoeven. Photographie : Jan de Bont. Musique : Basil Poledouris. Production : Gijs Versluys / Impala S.A., Riverside Productions. Interprétation : Rutger Hauer, Jennifer Jason Leigh, Tom Burlinson, Jack Thompson, Fernando Hilbeck.

Out of Africa - Souvenirs d'Afrique (Out of Africa)
Réalisation : SYDNEY POLLACK
1985. Etats-Unis d'Amérique. 150 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Kurt Luedtke, d'après Karen Blixen. Photographie : David Watkin. Musique : John Barry. Production : Sydney Pollack, Terence A. Clegg / Universal Pictures, Mirage Entertainment. Interprétation : Meryl Streep, Robert Redford, Klaus Maria Brandauer, Michael Kitchen, Malick Bowens.

Le Nom de la Rose
Réalisation : JEAN-JACQUES ANNAUD
1986. France, Allemagne, Italie. 130 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Andrew Birkin, Gérard Brach, Howard Franklin, Alain Godard, d'après Umberto Eco. Photographie : Tonino Delli Colli. Musique : James Horner. Production : Bernd Eichinger, Franco Cristaldi, Alexandre Mnouchkine, Herman Weigel, Jake Eberts, Thomas Schühly / Cristaldifilm, France 3 Cinéma, Les Films Ariane, Neue Constantin Film, RAI-Radiotelevisione Italiana, Zweites Deutsches Fernsehen. Interprétation : Sean Connery, Christian Slater, F. Murray Abraham, Michael Lonsdale, Valentina Vargas.

Indiana Jones et la Dernière Croisade (Indiana Jones and the Last Crusade)
Réalisation : STEVEN SPIELBERG
1989. Etats-Unis d'Amérique. 127 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : George Lucas, Menno Meyjes, Jeffrey Boam, Philip Kaufman. Photographie : Douglas Slocombe. Musique : John Williams. Production : Robert Watts, George Lucas / Lucasfilm Ltd., Paramount Pictures. Interprétation : Harrison Ford, Sean Connery, Denholm Eliott, John Rhys-Davies, Alison Doody.

Cyrano de Bergerac
Réalisation : JEAN-PAUL RAPPENEAU
1990. France. 135 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Jean-Claude Carrière, Jean-Paul Rappeneau, d'après Edmond Rostand. Photographie : Pierre Lhomme. Musique : Jean-Claude Petit. Production : René Cleitman, Michel Seydoux / Caméra One, Centre National de la Cinématographie, DD Productions, FILMS A2, Hachette Première, Investors Club, La Sofica Sofinergie, UGC Images. Interprétation : Gérard Depardieu, Anne Brochet, Vincent Perez, Jacques Weber, Roland Bertin.

Total Recall (Total Recall)
Réalisation : PAUL VERHOEVEN
1990. Etats-Unis d'Amérique. 113 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Ronald Shusett, Dan O'Bannon, Jon Povill, d'après Philip K. Dick. Photographie : Jost Vacano. Musique : Jerry Goldsmith. Production : Buzz Feitshans, Ronald Shusett / Carolco Pictures, TriStar Pictures. Interprétation : Arnold Schwarzenegger, Rachel Ticotin, Sharon Stone, Ronny Cox, Michael Ironside.

La Leçon de Piano (The Piano)
Réalisation : JANE CAMPION
1993. Nouvelle Zélande, Australie, France. 121 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Jane Campion. Photographie : Stuart Dryburgh. Musique : Michael Nyman. Production : Jan Chapman, Mark Turnbull, Alain Depardieu / Ciby 2000, Australian Film Commission, New South Wales Films & TV Office. Interprétation : Holly Hunter, Harvey Keitel, Sam Neill, Anna Paquin, Kerry Walker.

Last Action Hero (Last Action Hero)
Réalisation : JOHN McTIERNAN
1993. Etats-Unis d'Amérique. 130 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Zak Penn, Adam Leff, Shane Black, David Arnott. Photographie : Dean Semler. Musique : Michael Kamen. Production : John McTiernan, Stephen J. Roth / Columbia Pictures Corporation, Oak Productions. Interprétation : Arnold Schwarzenegger, F. Murray Abraham, Austin O'Brien, Art Carney, Anthony Quinn.

Le Hussard sur le toit
Réalisation : JEAN-PAUL RAPPENEAU
1995. France. 135 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Jean-Claude Carrière, Nina Companeez, Jean-Paul Rappeneau, d'après Jean Giono. Photographie : Thierry Arbogast. Musique : Jean-Claude Petit. Production : René Cleitman, Bernard Bouix / Centre Européen Cinématographique Rhône-Alpes, Compagnie Européenne Cinématographique (CEC), Entree Europees Cineatografique, Studio Canal, France 2 Cinéma, Hachette Première et Cie. Interprétation : Juliette Binoche, Olivier Martinez, François Cluzet, Jean Yanne, Paul Freeman.

Le 13ème Guerrier (The 13th Warrior)
Réalisation : JOHN McTIERNAN
1999. Etats-Unis d'Amérique. 102 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Warren Lewis, William Wisher, d'après Michael Crichton. Photographie : Peter Menzies Jr.. Musique : Jerry Goldsmith. Production : Ned Dowd, Michael Crichton, John McTiernan, Lou Arkoff / Touchstone Pictures. Interprétation : Antonio Banderas, Dennis Storhoi, Vladimir Kulich, Diane Venora, Daniel Southern.

Sleepy Hollow, la légende du cavalier sans tête (Sleepy Hollow)
Réalisation : TIM BURTON
1999. Etats-Unis d'Amérique. 105 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Andrew Kevin Walker, d'après Washington Irving. Photographie : Emmanuel Lubezki. Musique : Danny Elfman. Production : Scott Rudin, Adam Schroeder, Kevin Yagher, Andrew Kevin Walker, Mark Roybal, Francis Ford Coppola, Larry J. Franco, Celia D. Costas / American Zoetrope, Mandalay Pictures, Paramount Pictures, Scott Rudin Productions. Interprétation : Johnny Depp, Christina Ricci, Miranda Richardson, Michael Gambon, Christopher Walken.

Le Seigneur des Anneaux : La Communauté de l'Anneau (The Lord of the Rings : The Fellowship of the Ring)
Réalisation : PETER JACKSON
2001. Etats-Unis d'Amérique, Nouvelle Zélande. 175 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Peter Jackson, Frances Walsh, Philippa Boyens, d'après J.R.R. Tolkien. Photographie : Andrew Lesnie. Musique : Howard Shore, Enya. Production : Frances Walsh, Peter Jackson, Barrie M. Osborne, Tim Sanders, Rick Porras, Jamie Selkirk, Ellen M. Somers, Mark Ordesky, Harvey Weinstein, Bob Weinstein, Robert Shaye, Michael Lynne / New Line Cinema, WingNut Films, The Saul Zaentz Company. Interprétation : Elijah Wood, Viggo Mortensen, Sean Bean, Cate Blanchett, Liv Tyler.

Le Seigneur des Anneaux : Les Deux Tours (The Lord of the Rings : The Two Towers)
Réalisation : PETER JACKSON
2002. Etats-Unis d'Amérique, Nouvelle Zélande. 178 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Peter Jackson, Frances Walsh, Philippa Boyens, Stephen Sinclair, d'après J.R.R. Tolkien. Photographie : Andrew Lesnie. Musique : Howard Shore. Production : Frances Walsh, Peter Jackson, Barrie M. Osborne, Rick Porras, Jamie Selkirk, Ellen M. Somers, Mark Ordesky, Robert Shaye, Michael Lynne / New Line Cinema, WingNut Films, The Saul Zaentz Company. Interprétation : Elijah Wood, Ian McKellen, Viggo Mortensen, Christopher Lee, John Rhys-Davies.

Le Seigneur des Anneaux : Le Retour du Roi (The Lord of the Rings : The Return of the King)
Réalisation : PETER JACKSON
2003. Etats-Unis d'Amérique, Nouvelle Zélande. 200 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Peter Jackson, Frances Walsh, Philippa Boyens, d'après J.R.R. Tolkien. Photographie : Andrew Lesnie. Musique : Howard Shore. Production : Frances Walsh, Peter Jackson, Barrie M. Osborne, Tim Sanders, Rick Porras, Jamie Selkirk, Mark Ordesky, Robert Shaye, Michael Lynne / New Line Cinema, WingNut Films. Interprétation : Elijah Wood, Viggo Mortensen, Sean Astin, Orlando Bloom, Andy Serkis.

Eternal Sunshine of the Spotless Mind (Eternal Sunshine of the Spotless Mind)
Réalisation : MICHEL GONDRY
2004. Etats-Unis d'Amérique. 108 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Charlie Kaufman, Michel Gondry, Pierre Bismuth. Photographie : Ellen Kuras. Musique : Jon Brion. Production : Steve Golin, Anthony Bregman, Charlie Kaufman, David L. Bushell, Glenn Williamson, Georges Bermann / Focus Features, Universal Pictures. Interprétation : Jim Carrey, Kate Winslet, Kirsten Dunst, Mark Ruffalo, Elijah Wood.

Alexandre (Alexander)
Réalisation : OLIVER STONE
2004. Etats-Unis d'Amérique, France, Allemagne, Pays-Bas, Royaume-Uni. 170 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Oliver Stone, Christopher Kyle, Laeta Kalogridis. Photographie : Rodrigo Prieto. Musique : Vangelis. Production : Moritz Borman, Jon Kilik, Iain Smith, Thomas Schuly, Matthias Deyle, Fernando Sulichin / Pathé, Warner Bros., Intermedia Films, France 2 Cinéma, France 3 Cinéma, Egmond Film & Television, Pacifica Film, IMF Internationale Medien und Film GmbH & Co. Produktions KG. Interprétation : Colin Farrell, Angelina Jolie, Val Kilmer, Anthony Hopkins, Jared Leto.

Kingdom of Heaven (Kingdom of Heaven)
Réalisation : RIDLEY SCOTT
2005. Etats-Unis d'Amérique, Allemagne, Espagne, Royaume-Uni. 145 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : William Monahan. Photographie : John Mathieson. Musique : Harry Gregson-Williams. Production : Ridley Scott, Branko Lustig, Lisa Ellzey, Terry Needham / 20th Century Fox, Scott Free Productions, Kanzaman. Interprétation : Orlando Bloom, Eva Green, Jeremy Irons, David Thewlis, Ghassan Massoud.

Black Book (Zwartboek)
Réalisation : PAUL VERHOEVEN
2006. Pays-Bas, Allemagne, Royaume-Uni. 145 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Gerard Soeteman, Paul Verhoeven. Photographie : Theo van de Sande. Musique : Anne Dudley. Production : Paul Verhoeven, Jos van der Linden, San Fu Maltha, Frans van Gestel, Jeroen Beker, Jens Meurer, Teun Hilte, Marc Noyons, Jindra Markus, Sonja B. Zimmer, Andreas Grosch, Andrea Schmid, Marcus Schofer, Henning Molfenter, Carl Woebcken, Jamie Carmichael, Graham Begg, Sara Giles / Fu Works Productions. Interprétation : Carice van Houten, Thom Hoffman, Halina Reijn, Sebastian Koch, Waldemar Kobus.

Sa Majesté Minor
Réalisation : JEAN-JACQUES ANNAUD
2007. France, Espagne. 100 min. Couleur. HDCam.
Scénario : Gérard Brach. Photographie : Jean-Marie Dreujou. Musique : Javier Navarrete. Production : Xavier Castano, Jaume Roures / Repérages, Studio Canal, Malvarrosa Media, MediaPro, Pathé Renn Productions, France 2 Cinéma, France 3 Cinéma, Canal +, CinéCinémas. Interprétation : Vincent Cassel, José Garcia, Claude Brasseur, Mélanie Bernier, Sergio Peris-Mencheta.

Stardust, le mystère de l'étoile (Stardust)
Réalisation : MICHAEL VAUGHN
2007. Etats-Unis d'Amérique. 128 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Matthew Vaughn, Jane Goldman, d'après Neil Gaiman. Photographie : Ben Davis. Musique : Ilan Eshkeri. Production : Micheal Dreyer, Neil Gaiman, Lorenzo di Bonaventura, Matthew Vaughn, Tarquin Pack, Peter Morton, David Womark, Kris Thykier, Stephen Marks / Di Bonaventura Pictures, Ingenious Film Partners, Paramount Pictures. Interprétation : Michelle Pfeiffer, Robert De Niro, Claire Danes, Charlie Cox, Sarah Alexander.

La Légende de Beowulf (Beowulf)
Réalisation : ROBERT ZEMECKIS
2007. Etats-Unis d'Amérique. 113 min. Couleur. 35 mm.
Scénario : Roger Avary, Neil Gaiman. Photographie : Robert Presley. Musique : Alan Silvestri. Production : Robert Zemeckis, Steve Starkey, Jack Rapke, Steve Bing, Martin Shafer, Roger Avary, Neil Gaiman / Shangri-La Entertainment, Warner Bros., Imagemovers, Paramount Pictures. Interprétation : Ray Winstone, Brendan Gleeson, Anthony Hopkins, Robin Wright Penn, John Malkovich.

Voila. C'est tout... Du moins pour le moment. Concernant l'avenir du format DVD classique, il parait que le HD-DVD ou le Blue-Ray Disc vont bientôt tout écraser sur leur passage (dit-on !), mais, à vrai dire, il n'est pas impossible que je procède encore, d'ici la fin de cette année, à quelques acquisitions supplémentaires de films de cinéma sous forme de DVD... Nous verrons bien si des occasions se présentent. Du reste, le vieux lecteur de DVD que j'utilise fonctionne toujours, même après toutes ces années d'activité : pourquoi ne pas continuer à en profiter ?

Cordialement, :-)

Hyarion.

(Illustrations : ©DR)
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commentaires
S
Attention, je vais "spoiler", comme disent les branchouilles postmodernes..."Je te reconnais bien là, cher Sauron, pardon, Lady Ada ! Dès qu'il n'y a pas d'apocalypse tragique, on estime que le film n'est pas allé jusqu'au bout ;-)"Ra, mais ici, c'est juste Sauron!Lady Ada, c'est pour ailleurs (là-dessus, pour être plus précis : www.europeana.over-blog.com, avec LA réponse pour cette fin de journée ou demain).En ce qui concerne l'Apocalypse, c'était juste que tout dans le film y menait : la destruction devient une addiction au fur et à mesure du film, la coupure d'alimentation est un peu brutale au moment des bateaux. M'est avis que les gentils démocrates auraient du faire sauter le bateau des prisonniers."La question du choix est sans doute la clé du film à mon avis."Oui, à la fois le choix et le non-choix. Joker impose le non-choix à Gotham (il retourne justement double-face dans une scène d'anthologie en lui faisant prendre conscience de la responsabilité de ceux qui s'attribuent des choix : le Joker est celui qui impose la tragédie -au sens de l'absence de choix- à la ville).En fasant un choix, les gens des bateaux s'opposent très précisément au "discours" du Joker, et sortent la ville de la tragédie. Et c'est ça qui est dommage. Le Joker est trop grand par rapport à ces gens minuscules. J'étais trop de son côté pour accepter ce retournement.Voilou,Sauron
D
Vraiment impressionnant, bien que le coup des bateaux m'ait un peu gaché l'impression d'ensembleJe te reconnais bien là, cher Sauron, pardon, Lady Ada ! Dès qu'il n'y a pas d'apocalypse tragique, on estime que le film n'est pas allé jusqu'au bout ;-)Pour ma part, j'ai bien aimé cette scène et son issue. Je crois que la décision de Batman (je ne révélerais pas la fin pour ceux qui vont s'y rendre) est plus dure que celle d'un bateau qui explose ou non. La question du choix est sans doute la clé du film à mon avis. Tous les thèmes (ordres/désordres - Bien/Mal) sont reliés à cette interrogation sur le choix qui constitue ici la matrice des actes. En tout cas, nous sommes en accord: Dark Knight est un grand film et mérite amplement son succès. Je voudrais à présent poursuivre l'exploration cinématographique par deux films français (oui, on arrive à faire autre chose que des comédies nombrilistes) différents mais qui se rejoignent dans leur dimension et leur profondeur. Deux films que je suis allé voir à peu d'intervalle et qui m'ont beaucoup ému: L'Empreinte de l'Ange et Le premier jour du reste de ma vie. Le titre L'Empreinte de l'Ange est une référence et une métaphore. Selon une légende, chaque enfant qui vient au monde connaît tous les mystères de la création. Mais juste avant sa naissance, un ange vient poser le doigt sur sa bouche...et l'enfant oublie tout, redevenant pur et innocent pour tout réapprendre. C'est le petit creux que chaque humain a juste au-dessus de sa lèvre supérieure, l'empreinte de l'ange...Inspiré d'une histoire vraie, ce film de Safy Nebbou raconte l'histoire d'une mère, Elsa, qui n'a toujours pas fait le deuil de la perte d'un bébé lors d'un incendie, une petite fille dont elle croit reconnaître les traits dans une amie de son fils et qui a le même âge qu'aurait eu sa propre fille. Le film se construit alors autour de la tension progressive qui s'installe entre Claire, la mère de cette petite fille, et Elsa, de plus en plus persuadé que sa fille n'est pas morte dans l'incendie et qu'elle est bien vivante sous les traits de cette petite fille. Magnifique réflexion sur le poids du deuil, L'Empreinte de l'Ange dresse le portrait intime de deux femmes habitées par des drames qui déroulent leur histoire. Subtil tour de force psychologique, le film nous plonge aux coeurs des racines matérielles et intangibles de l'instinct, du sentiment, du tragique qui structure les identités. De plus, le film est habité par deux actrices formidables de bout en bout, Catherine Frot et Sandrine Bonnaire, qui déroulent cette histoire à travers des jeux de regards impressionnants. Sombre, sobre et épurée, l'esthétique du film illustre à merveille les renversements symétriques, les oppositions et les convergences entre les personnages. Bref, un beau film à ne pas manquer. Le premier jour du reste de ma vie est un film de Rémy Bezançon qui narre l'histoire d'une famille de cinq personnes à travers cinq jours décisifs, cinq jours plus importants que d'autres où ne rien ne sera plus pareil que le lendemain. Le synopsis laisserait supposer une éniéme comédie ou un drame familial éculé. Rien de plus faux cependant. Si le film reprend la trame de 5x2 de François Ozon, il s'en détache largement pour livrer une exploration de l'intimité familiale à travers des dialogues drôles, vachards quelquefois, où la tendresse et l'indulgence côtoie le coup de gueule et la souffrance. Au fur et à mesure que s'égrènent les souvenirs et ces cinq journées décisives dans la vie de chacun, cette chronique familiale distille des questions fondamentales, du rapport parents-enfants ou de celui de construire sa vie, des choix que nous faisons tous et de nos actes, petits ou grands. Sans réaliser une autobiographie, le réalisateur s'est inspiré de son regard et de son expérience pour traiter de manière totalement universelle la question de la famille, cellule de vie constitutive qui nous aide à intégrer la vie avec nos semblables, mais aussi cadre contraignant, avec ses pesanteurs, ses secrets, ses codes. Reconstituant l'univers d'une famille, Remy Bezançon réalise ici une fresque sociale et intime, livrant aussi une belle réflexion autour de l'événement ("les cinq jours" appartiennent à des moments totalement différents selon la sensibilité de chacun), de sa nature profonde et de ses effets sur notre manière d'être et de vivre avec l'autre. Et décidément, le cinéma français semble un peu plus intéressant avec un troisième film, que j'ai oublié de citer au-dessus: Par suite d'un arrêt de travail avec Charles Berling et Patrick Timsit. Prônant l'esprit du dialogue et du débat, ce film de Frédéric Andréi part d'un fait social pour dérouler la rencontre de deux personnages antagonistes où chacun va apprendre au contact et au regard de l'autre la relativité de sa propre vérité. A voir également. Bons films ! :-)Dante.
S
Réellement un grand film que ce Dark Knight.Bonne réflexion sur de grandes oppositions :bien/malordre/chaos...Vraiment impressionnant, bien que le coup des bateaux m'ait un peu gaché l'impression d'ensemble...Sauron
D
la 8eme université d'été d'ATTAC, qui doit se dérouler à l'université de Toulouse II - Le Mirail, du 24 au 28 août prochainsMon cher Hyarion, tu t'es trompé dans les dates. L'Université d'été d'Attac se déroule à l'Université de Toulouse II Le Mirail du 22 au 26 août (et non du 24 au 28 août). Je rectifie l'information au cas où quelques membres du MoDem ou de l'UMP soient tentés de s'y rendre :-)) Et je ne parle même pas des "intellectuels de gauche", cela va de soi ! :-))Dante
D
Bon, il est temps de revenir à quelques éléments plus culturels de ce blog et d'aller au cinéma !Je précise que ce qui suit est du 457éme degré farenheit (attention, les esprits sérieux, ça brûle) et que je suis l'odieux auteur de ce communiqué non officiel d'Attac :-))10 ANS D'ATTAC - COMMUNIQUE (ni officiel, ni officieux)BATMAN, NOTRE CHEVAL HIER NOIR <br /> (Henni soit qui mal y pense !)<br />  <br /> Pour fêter ses dix ans, Attac est allé voir « The Dark Knight » de Christopher Nolan. Une exploration profonde et explosive du projet altermondialiste. Réjouissant.<br />  <br />      Le personnage de Batman, issu d’un Comics américain, tranche furieusement avec la vision malsaine des Chicago Boys. Bien que Bruce Wayne soit un nanti (et pas forcément antisémite), Batman incarne la part du social qui fait croire à un autre monde. Ici, notre chevalier noir est au prise avec le Joker, incarnation absolue du néolibéralisme libertarien se défendant de tout calcul, qui rejette toute forme de planisme. Le Joker symbolise à merveille les nuisances de l’AGCS, et de l’OMC. En témoigne la scène de destruction de l’hôpital qui symbolise la destruction programmé (et donc planifié) de tous les services publics. Quant au personnage d’Harvey, il incarne, avec prodige et métaphore, le néolibéralisme orthodoxe aux perspectives Hayekienne. Il n’est d’ailleurs pas étonnant que le prénom de Harvey évoque le nom de Hayek, le H symbolisant une symétrie relative au personnage de « double face ». [Le H désigne aussi une substance illicite auquel s’est furieusement adonné l’auteur de ce texte]. La ressemblance est frappante quand Harvey prône la sacralité du hasard dans toute forme de justice, transposant un élément de représentation Hayekienne en matière de hasard. De plus, Harvey rend sa sentence avec une pièce de monnaie, laquelle souligne ainsi la marchandisation actuelle du monde. Heureusement, Batman transcende le réflexe bourgeois et le déterminisme de sa classe pour universaliser ses actes et leur portée. Ainsi, son sacrifice rappelle la nécessité de dépasser ses intérêts personnels pour appartenir au projet collectif du vivre ensemble. En sacrifiant son image au profit, nous osons le terme, d’un « désir d’avenir », Batman nous offre un regard sur la nécessité de l’altermondialisme et de ses dérivés informes et utopistes. Voilà, cher Hyarion, une lecture sans doute quelque peu personnelle mais instructive, n'est-il pas ? :-))Amitiès ;-)Dante
H
<br /> <br /> Dante >>> "Voilà, cher Hyarion, une lecture sans doute<br /> quelque peu personnelle mais instructive, n'est-il pas ? :-))"<br /> <br /> C'est, assurément, cher Dante, une lecture fort personnelle du film The Dark Knight, Le Chevalier<br /> Noir, de Christopher Nolan - sorti en France le 13 août dernier -, et qui semble étrangement coïncider avec la 8eme université d'été d'ATTAC, qui<br /> doit se dérouler à l'université de Toulouse II - Le Mirail, du 24 au 28 août prochains... ;-)<br /> Cette lecture n'en est pas moins instructive, en effet, et le film de Nolan, du reste, m'a bien plu... ;-)<br /> <br /> Amicalement, :-)<br /> <br /> Hyarion.<br /> <br /> <br /> <br />

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